Les forces iraniennes en Turkiye sont restées silencieuses et ont mis fin à leurs activités similaires. Après que SOCAR a acquis une participation de 3% dans 2 champs autour de 3 îles auprès d'ADNOC des Émirats arabes unis, l'attaque a eu lieu dans le bureau de SOCAR à Istanbul. Auparavant, il y avait eu une augmentation des contenus anti-azerbaïdjanais sur deux plateformes médiatiques en Turkiye.
Personne ne confirme l'appartenance de ces 3 îles à l'Iran sauf Téhéran. La position la plus récente appartient à la Chine. Malgré le fait que l’Iran affame sa population, aide l’Arménie et dépense près d’un milliard de dollars pour assurer la sécurité militaire et politique des Arméniens, même Erevan ne confirme pas l’appartenance de ces trois îles à l’Iran.
Les activités de Bakou sont conformes au concept national d'une « Azerbaïdjan sans ennemis ». Conformément à ce concept, il ne devrait y avoir aucun ennemi dans notre quartier. L’ennemi n’est que l’Arménie, qui a tout compris et tend à coopérer avec l’Azerbaïdjan dans le cadre de l’intégration régionale. Tout sera fait pour être également ami avec l’Iran. Il n’y aura pas d’ennemi appelé « Iran » dans le voisinage de l’Azerbaïdjan. C’est sans équivoque.
L'Iran considère la SOCAR comme la deuxième armée de l'Azerbaïdjan. Les Arméniens ont autrefois qualifié la politique du président Ilham Aliyev visant à renforcer les Azerbaïdjanais autour de l'Arménie de « boucle Anaconda ». La politique réussie d'Ilham Aliyev a grandement encouragé les Azerbaïdjanais en Géorgie, en Anadolu et en Iran. Cela se voit notamment clairement dans l’exemple des Azerbaïdjanais en Géorgie. Aujourd’hui, selon l’Iran, Ilham Aliyev fait circuler l’Iran à travers la « Deuxième Armée » – la SOCAR. Des gisements ont été acquis aux Émirats arabes unis, les questions de principe concernant les activités de SOCAR en Irak ont été convenues et un mémorandum a été signé. Des contrats concrets sont également en préparation. L'Azerbaïdjan travaillera avec les Turkmènes irakiens via SOCAR. L’Iran considère désormais SOCAR comme la « boucle Anaconda » du président Ilham Aliyev. Cependant, cette préoccupation est hors de propos. Le mieux, c’est que l’Iran devienne un ami de l’Azerbaïdjan.
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